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Qui suis-je ?

  

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Je m'appelle Laurent BRUN, j'ai 48 ans et j’ai commencé à dessiner dès mon plus jeune âge.

Déjà, en Maternelle, je peignais un tigre pour ma maîtresse !


Depuis ma plus tendre enfance, j'ai toujours été attiré par les animaux dont je collectionnais les images dans les tablettes de chocolat et je découpais les fiches du commandant Cousteau dans les programmes télé !


Du coup, je me suis abonné aux divers magasines spécialisés (Terre Sauvages - Sciences et Nature)

pour lire des centaines d’articles et nourrir par passion et ma mémoire de milliers de clichés animaliers.


Entre 1992 et 1995, j'ai suivi des études dans le milieu des eaux et forêts.

J'aurai passé 6 mois de stage à étudier la faune sauvage sur divers département Français afin d'obtenir

mon Brevet de Technicien Agricole.


Également passionné de photographie, j'ai acheté en 1995 mon matériel photo pro pour aller passer des centaines d’heures à observer différents environnements naturels et immortaliser sur papier des insectes, oiseaux,

reptiles et mammifères. Certains clichés m'ont d'ailleurs servi d'appui pour les croquis que j'en faisais ensuite.


Revenons dans les années 90, car déjà bon en dessin, j'affirmais haut et fort que j'étais mauvais en peinture.

Puis un jour, j’ai essayé...et là, surprise ?


Très vite la gouache m’es apparue comme la matière la plus malléable pour travailler et les progrès réalisés

après chaque essais m’ont vite mené à toujours être plus pointilleux jusqu’à atteindre le réalisme.

C'est en autodidacte que je me découvre au fil de mes peinture !


Comme me l’a dit un jour mon père devant les peintures que je lui mettais sous le nez au retour du travail, continue avec « le souci de la perfection dans les moindres détails ».


C’est donc avec l’aide de ma mère qu’à 19 ans j'ai pu réaliser ma première grosse exposition

au Grand Pavillon des Arts de la ville de Pau.


Ce fut un succès car l'expo se déroulait pendant le circuit de formule 3000 bien connu,

ce qui par ailleurs drainé énormément de monde !

J'ai vendu des peintures et reçu un grand nombre de commandes. C'était un monde nouveau !

 

Autodidacte dans toutes les matières, j’ai ensuite utilisé la peinture à l’huile, le pastel sec, les crayons de couleur, l’aquarelle, le fusain puis l’acrylique pour répondre à diverses commandes et entreprendre d’aller exposer sur différents sites à travers la France.


A 22 ans, je serai retenu pour exposer 2 tableaux au Muséum d'Histoire Naturelle de Paris

puis sur celui d'Orléans.

Au fur et à mesure des nouvelles rencontres, j' ai donc créé mon propre site Internet pour avoir un Press-book de mes œuvres en ligne qui relate l'ensemble de mon travail artistique dans tous les domaines depuis mes débuts.


Une partie du site est consacrée à mon autre passion, la photographie.

Depuis 1998 j’en fais mon métier.

(Parapentes/Surf/Sports d'eau/Mariages/Portraits Enfants/Familles/Immobilier/Événementiel)


Peindre, dessiner des animaux ou d’autres sujets m’ont appris à saisir des regards, des positions,

un espace de vie, des perspectives…et surtout la profondeur de champs.

Cette dernière joue un rôle primordiale sur la composition de mes tableaux.

Je me suis découvert dans mes propres techniques personnelles aléatoirement entre erreurs et réussites.


Mais en fait, j’ai vite compris que lorsque l'on fait «  une erreur » sur la toile ou le papier, c'est un nouveau palier d'évolution vers une nouvelle technique pour  : soit la camoufler, soit la mettre en valeur !


En 1996 au Festival d'Art Animalier de Merline-Eygurande en Corrèze, je décrocherai "le prix du Public" qui sera encore mien pour mon second passage en Août 2012.


Puis, cette même année, j’ai découvert  : l’aérographe.

C’est un petit pistolet de peinture qui fonctionne grâce à un compresseur.

Cela permet de pulvériser les couleurs que je me crée à l'avance dans des petits pots vides de confitures.


Je peux donc gérer le  flou artistique des arrières plans aussi bien que le détail d'un cheveu, d'un poil,

des effets de lumières jouant ainsi sur la profondeur de champ !


Mon coté photographe fait le reste en ajustant les cadrages, piqués, contrastes, perspectives...


Je me crée donc des pochoirs pour éviter que  la pulvérisation de la peinture n’entache le travail déjà réalisé.

A l'origine, pour peindre, j'ai besoin d'un ou plusieurs supports visuels sur l'animal ciblé.


Ensuite j’applique aléatoirement des coups de crayon, de pinceaux, d'éponge, de gomme liquide, gomme électrique, ou d'aérographe pour donner vie à mon projet, et j'aime utiliser les doigts, les mains !


Je décide de rendre chaque détail plus vrai que nature pour que le public se trompe et doute  :

est-ce une photo ou une peinture  ?

Cela me permet d'entamer la conversation et d'expliquer les méthodes utilisées.

Pour qu’un tableau animalier soit réussi, il faut réussir l'oeil de l'animal et le fond !


Les autres parties doivent aussi être bien travaillées, mais si vous réussissez le pelage ou le plumage et que vous ratez le regard, votre tableau sera vide de sens, sans intérêts, comme si l’animal était empaillé  !


J’ai toujours admiré deux peintres animaliers, Carl BRENDERS et Robert BATEMAN (exposition sur Paris).

Leur souci de la perfection dans les moindres détails, m’ont toujours poussé à essayer d’atteindre leur niveau.

 

En 2015, j’ai présenté mes tableaux à Vincent MUNIER, le grand photographe animalier en lui parlant de la persévérance que j’avais à atteindre le niveau de mes mentors.

Il m’a répondu  : «  Mais en  fait Laurent, tu es arrivé  à leur niveau !  ». Merci Monsieur MUNIER.

Ce même jour, j'ai eu l'honneur également de montrer mon travail à Laurent BALESTA, Océanographe, biologiste et Photographe réputé. Leur passion est devenue un métier et c'est l'exemple que je suis !


J’estime pour ma part que je peux encore poussé mon art. Je suis à chaque fois satisfait de mon résultat mais pas rassasié. Je suis très critique envers moi-même et espère en une évolution permanente pour atteindre le palier suivant. J'aime les défis et chaque jour est un nouvel apprentissage !


Ma vie professionnelle m’a amené à devenir également  décorateur de scène de spectacles pour les enfants dans le Pierre & Vacances de MOLIETS dans les Landes.


J’ai donc appris à peindre sur des m² de toiles à des hauteurs de 3m50 et sur des longueurs de dizaine de mètres. J’ai manié de gros aérographes qui pulvérisent la peinture sur de grandes surfaces.

J'ai joué sur des dégradés à l’éponge, des éclaboussures aux pinceaux, j'ai tendu et réparé des toiles, construits des châssis, utilisé le rétroprojecteur, créé des pochoirs géants, utiliser des bombes aérosols et mes mains….


Puis, une fois le chantier dégrossi, j’adore finir les détails au pinceau, au Posca ou avec les petits aérographes afin de donner de l'éclat à une étoile, faire passer une ombre, faire briller un regard par exemple  !


Cela fait + de 30 ans que peindre des décors est devenu une de mes occupations avec des commandes qui deviennent toujours plus exigeantes. J'aime repousser mes limites et me donner de nouveaux défis à relever.


D'un simple projet banal, j'emploie tout mon talent à le rendre plaisant, attractif, un projet dont je photographie l'évolution pour en faire des Time-laps publiés sur les réseaux sociaux.


Pour un Décor, c’est  comme pour mes peintures, l’œil est attiré sur des parcelles de la toile qu’il faut absolument avoir réussi et le premier œil critique sur mes œuvres, c’est le mien et je ne suis pas toujours très tendre à mon égard. Et tant que je ne suis pas content du résultat, je m’obstine à obtenir l’œuvre que j’ai en tête.


On m’a souvent demandé  : «  mais quand savez-vous qu’il ne faut plus y toucher  ?  »

Et je réponds  :  «  Quand le critique dans ma tête me dit qu’il est satisfait  !  »


Comme j’ai toujours dit en introduction de mon livre d’or  :


«  Le Dessin est un art,

la Peinture est un art,

la Critique est un art,

si vous n’êtes pas doué

pour les 2 premiers,

exercez vous au 3ème sur ces derniers  ! »



Laurent BRUN


  

Si tu ne crois en rien, crois déjà en toi !


Laurent BRUN